Les superviseurs des cultures : ces passionnés qui font pousser vos légumes préférés

superviseurs des cultures

C’est le temps des récoltes dans les champs Bonduelle. Que ce soit dans les champs, les usines ou les bureaux, tous allient leurs forces et travaillent avec ardeur pendant cette période mouvementée. Selon nous, c’est le moment idéal pour vous présenter l’humain derrière nos légumes surgelés : celui qui, tous les jours, est dans le vif de l’action. En effet, sans les superviseurs des cultures, Arctic Gardens, qui est une marque de Bonduelle, ne serait pas la même. Ils travaillent sans cesse afin de vous donner accès à des légumes de qualité, toujours frais, cultivés minutieusement et avec passion. Pour en savoir plus, consultez notre article sur L’expertise agricole derrière les légumes Arctic Gardens.

Afin d’assurer la bonne gestion des terres, nous avons besoin de superviseurs des cultures. Employés chez Bonduelle, ils servent d’intermédiaires entre les agriculteurs et l’entreprise. Ils ont deux principales fonctions : ils effectuent les suivis techniques, qui comprennent les contrôles routiniers des cultures et les suivis de la production et exécutent des tâches administratives. Les superviseurs des cultures travaillent en symbiose avec les agriculteurs afin d’assurer le bon déroulement des récoltes. Vous voulez en connaître davantage sur le processus des récoltes? N’hésitez pas à consulter notre article De la récolte à l’assiette.

Pour que vous puissiez en découvrir davantage sur ces personnes uniques, nous sommes allés à la rencontre de Christian, de Marie-Lou, de Robert et de Valérie, quatre superviseurs des cultures du Québec.

Quatre superviseurs des cultures d’ici

Christian : le superviseur des cultures chevronné

Christian

Avec ses 27 ans d’expérience dans le domaine, Christian représente l’expérience du métier. Tous les jours, il se réveille au petit matin afin d’assurer la bonne récolte de vos légumes préférés.

Au fil des ans, il a vu son métier évoluer : bien qu’il le connaisse sur le bout des doigts, les avancées techniques ne cessent de le surprendre. Comme il l’a mentionné lui-même, son domaine d’expertise évolue tous les jours, et ce, pour le mieux. En effet, l’agriculture se transforme vers des cultures plus durables et des produits plus sains pour l’environnement et les consommateurs.

Les défis du métier : le climat québécois

Le plus gros défi pour cet homme d’expérience, c’est la météo. Avec les températures changeantes et imprévisibles, il peut être parfois difficile de pratiquer ce métier. Cependant, ce type de défi lui donne l’occasion de persévérer et d’en apprendre plus sur l’agriculture tous les jours. Afin de parvenir à donner aux consommateurs un produit digne de leurs attentes, Christian mise sur le travail d’équipe entre agriculteurs et superviseurs des cultures. La collaboration de chacun permet de trouver des solutions rapidement. Comme il le dit si simplement, en équipe, « ça finit toujours bien ».

Qu’est-ce que ça prend pour être un bon superviseur des cultures?

Selon Christian, les capacités de travailler en équipe et de s’adapter aux changements sont des qualités clés dans ce métier.

Superviseur des cultures : un métier qui les rend fiers

Travailler avec du vivant, c’est ce qui rend Christian fier d’être superviseur des cultures.

Le saviez-vous?

 

Robert : le directeur agricole passionné

Robert

Le métier qu’exerce Robert ne lui a pas été transmis par sa famille ni par son milieu de vie : c’est un gars né en ville qui a migré vers la campagne, poussé par sa passion pour l’agriculture. Robert est inspiré par l’idée de nourrir le monde et il veut lui donner des légumes locaux de qualité. Pour ce faire, il se lève aux aurores afin d’aller examiner ce qui se passe dans les champs. Ainsi, sa grande motivation a fait de lui un remarquable directeur agricole.

Les défis du métier : les imprévus

Le plus gros défi pour ce travailleur passionné, c’est le haut risque d’imprévus. Même si la journée est bien planifiée, il ne sait jamais ce qui peut arriver. Tous les jours, il doit faire preuve de flexibilité et de persévérance pour arriver à ses fins. « Être superviseur des cultures, ça demande énormément de temps et de planification pour fournir les usines ».

Qu’est-ce que ça prend pour être un bon superviseur des cultures?

Pour être un bon superviseur des cultures, ça prend de l’agilité pour réussir à remédier aux imprévus. Aussi, pour se lever aussi tôt les matins et être aussi disponible, cela nécessite beaucoup de passion.

Superviseur des cultures : un métier qui les rend fiers

Sa fierté est de savoir d’où proviennent les légumes : « Lorsque je vais à l’épicerie, je sais que les légumes sont de qualité, car ils viennent de chez nous. Je peux même me souvenir de chaque récolte pour chacun des légumes qui sont offerts en magasin ».

Le saviez-vous?

 

Marie-Lou : la superviseure des cultures attentionnée

Marie-Lou

Marie-Lou en est à sa cinquième saison en tant que superviseure des cultures : c’est une fille d’action qui aime les défis que la nature lui présente. Ce métier est parfait pour elle, puisqu’elle doit toujours se dépasser. En effet, tous les jours, elle travaille avec du vivant et doit relever de nouveaux défis en développant de nouvelles techniques. Selon elle, bien qu’il soit exigeant et imprévisible, ce métier demeure très plaisant et gratifiant.

Sa motivation est de nourrir les gens avec des légumes accessibles, locaux et de bonne qualité. Pour obtenir une récolte fructueuse, c’est important d’avoir une bonne équipe constituée de gens d’expérience qui communiquent bien entre eux.

Marie-Lou se démarque par son amour du produit. Elle se considère comme étant la médecin de ses légumes : elle est là pour être leur porte-parole et résoudre leurs problèmes. « Comme les médecins, on est là pour guérir. Quand je me promène dans les champs, je me demande toujours ce que je pourrais faire de mieux et j’apporte des correctifs ».

Les défis du métier : travailler avec du vivant

Le plus gros défi pour Marie-Lou, c’est de travailler avec du vivant. En effet, les plantes sont très influencées par le milieu de vie dans lequel elles évoluent et peuvent tomber malades. Marie-Lou doit donc être capable de gérer des situations qui sont indépendantes de sa volonté. Les superviseurs des cultures doivent toujours avoir un plan, même si celui-ci est appelé à changer et à évoluer régulièrement.

Qu’est-ce que ça prend pour être une bonne superviseure des cultures?

Avoir une vision d’ensemble, avoir de l’entregent pour entretenir de bonnes relations avec les employés de l’usine et des champs et être réactive afin de savoir gérer à tout moment un imprévu sont, selon Marie-Lou, des qualités primordiales quand on est superviseure des cultures.

Superviseure des cultures : un métier qui les rend fiers

Marie-Lou est fière de pouvoir suivre le produit du champ à l’assiette : « Il n’y a rien de plus gratifiant que d’aller chez les gens qu’on aime et de voir qu’ils mangent de nos légumes ».

Le saviez-vous?

 

Valérie : la superviseure des cultures de vocation

valérie

Bien qu’elle fasse ses débuts en tant que superviseure des cultures, Valérie vient d’une terre agricole transmise de génération en génération. L’agriculture, c’est dans ses gènes. Depuis sa tendre enfance, elle développe un sentiment d’appartenance envers les champs. Maintenant, en tant que superviseure des cultures, elle continue de faire ce qui la passionne : elle se promène dans les champs d’agriculteurs afin d’assurer le bon déroulement des récoltes. « J’essaie de m’en occuper comme si c’étaient mes propres champs ».

Les défis du métier : les imprévus

Tout comme Robert, le gros défi pour cette naturelle, c’est le risque d’imprévus pouvant survenir à tout moment. Son travail nécessite beaucoup de temps : elle doit être disponible 365 jours par année. Elle doit s’adapter continuellement à de nouvelles situations. Cependant, Valérie ne se plaint pas puisque, selon elle, elle ne travaille pas réellement. Son secret pour être aussi motivée? « Fais le travail que tu aimes et tu ne travailleras pas un jour de ta vie ».

Qu’est-ce que ça prend pour être une bonne superviseure des cultures?

Passion, détermination et capacité d’adaptation sont de mise pour exercer le métier de superviseure des cultures, et Valérie en est un parfait exemple.

Superviseure des cultures : un métier qui les rend fiers

Pouvoir voir l’humain derrière les légumes, Valérie en est fière! En effet, elle se dit chanceuse de faire pousser des légumes qu’elle aime manger.

Le saviez-vous?



Comme vous pouvez le constater, la marque Arctic Gardens de Bonduelle, c’est bien plus que de simples légumes… C’est aussi l’humain derrière elle qui travaille sans cesse pour réussir à donner aux gens des produits d’une grande qualité. Arctic Gardens, c’est des légumes, un métier, une passion, des innovations, de l’acharnement, du temps et, surtout, un travail d’équipe.

 

 

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